Cette semaine en graphisme, nous avons appris à faire des boucles : à l’endroit pour les moyens, à l’envers pour les grands, pour les préparer à écrire les lettres j, g et z en écriture cursive.
Voici les fleurs des grands qui ont réalisé un fond avec les pastels secs étalés au mouchoir :
Dans la salle de motricité, les moyens ont appris le geste en regardant ce poster de grand huit :
Ils sont donc partis d’en bas à gauche pour caresser leurs pieds, monter au-dessus de leurs têtes et se retrouver en bas à droite :
Ils ont ensuite fait la même chose avec les rubans :
Les grands, eux, ont réalisé le chemin inverse : ils sont partis d’en haut à droite pour monter au-dessus de leurs têtes, caresser leurs pieds et se retrouver en haut à gauche :
Même chose avec les rubans :
Les moyens ont ensuite enchaînés des boucles à l’endroit dans la course de récréation en avançant à droite des plots puis en tournant autour des plots :
Et les grands ont fait de même avec des boucles à l’envers en avançant à gauche des plots :
Les moyens ont ensuite réalisé des boucles sur les ardoises velcros et en pâte à modeler :
En langage écrit, les moyens ont appris à associer les lettres scriptes aux lettres capitales. Deux techniques :
– soit on choisit une rondelle avec une lettre scripte et on la retrouve dans son alphabet pour regarder sa lettre capitale associée,
– soit on regarde la lettre capitale, on la retrouve dans notre alphabet et on regarde quelle est la lettre scripte associée :
Dur, dur, il va falloir s’entraîner encore…
En langage oral, nous continuons à raconter l’histoire de notre petit hippopotame avec les marottes :
En phonologie, les moyens devaient placer leurs images sous les images avec les mêmes syllabes d’attaque. Par exemple, « ballon » sous « bateau ».
En production d’écrits, les grands ont écrit des phrases décrivant une image à l’aide de mots référents. Ex : LE BALLON EST DEVANT LA CHAISE.
En mathématiques, les moyens ont dû trouver des nombres mystères : il faut trouver le nombre manquant dans chaque case, d’abord de 1 à 6, ensuite de 1 à 9 :
Les grands ont continué les décompositions à 10 en se mettant par deux : il fallait bien se mettre d’accord et s’écouter car si l’un des deux prenait 2 jetons pour faire 2 et 8 et que l’autre en prenait 4 pour faire 4 et 6, ça ne marchait pas…
Ils ont ensuite cherché toutes les décompositions à 10 sur les tablettes magiques. Certains étaient perdus avec les jetons alors la maîtresse leur a dit qu’ils avaient toujours leurs doigts avec eux, ouuufff !
Ils ont également découvert la monnaie avec des porte-monnaie en plusieurs étapes :
– ils ont d’abord acheté ce qu’ils voulaient avec les sous de leurs porte-monnaie,
– puis ils devaient dépenser exactement 6 euros,
– et enfin ils devaient acheter un jeu de patience et faire 5 avec leurs pièces.
Suzanne s’est exclamée : » Ah, mais Maîtresse, en fait, c’est comme des calculs !!! »
En sciences, nous sommes partis à la chasse aux objets dans la classe : il fallait ensuite les mettre dans le bon cerceau, suivant s’ils étaient attirés par les aimants ou non :
On peut dire que les élèves ont l’art de nous dénicher des objets inattendus, n’est-ce pas Suzanne ? Quelqu’un a bien proposé les lunettes de Nathalie, mais la maîtresse a dit que c’était trop risqué…
Voici le tri final :
Comment peut-on savoir si un objet est attiré ou non par les aimants ? Gabin a trouvé : s’il contient du métal ! Eh oui, l’aimant colle sur le métal des ciseaux. Nous avons constaté que le métal est en général de couleur grise mais il y a des objets gris qui ressemblent au métal mais qui n’en sont pas comme comme nos pinceaux !